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Gin Acmé

29,00 €
TTC

ACMÉ, qui vient du grec ancien « akmê », signifie sommet. ACMÉ, c’est également le point le plus élevé atteint par un art ou par une civilisation dans son développement. Autant dire que ce nouveau gin inspiré de nos montagnes promet une belle découverte ! ACMÉ met en lumière la diversité de plantes aromatiques et la richesse naturelle de nos montagnes françaises. Super premium, ce nouveau gin « made in France » se distingue avant tout par sa personnalité unique : un profil d’une grande fraîcheur et d’une intensité rare.

  • Pays d'origine : France
  • Degré d'alcool : 41,5°
  • Marque : Byrrh
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Byrrh

Le Byrrh est une marque de vermouth français créé à Thuir, Pyrénées-Orientales, en 1866, la marque Byrrh ayant été déposée en 1873. C'est un vin additionné de mistelle et aromatisé essentiellement au quinquina.

La marque appartient à la société Pernod Ricard pour l'avoir achetée avec les autres actifs de Cusenier

Histoire

Les frères Pallade et Simon Violet, drapiers ambulants, décident de profiter de la fièvre vinicole que connaît la région pour élaborer un médicament à base de vins, de quinquina et composé de différentes épices telles que le café, le cacao, la fleur de sureau, la camomille, etc. L'ordre des pharmaciens de Montpellier ne voit pas du tout l'arrivée d'alcool sur leurs étals d'un bon œil et intente un procès aux deux frères, qui ne disposent pas de nom pour leur produit. Celui-ci doit donc être retiré de la vente, car il fait de l'ombre aux autres élixirs à base de quinquina. Ils modifient alors leur recette, réduisant la dose de quinquina, et le vendent comme apéritif.

Le nom de ce produit prend sa source dans l'anecdote suivante : les frères Pallade et Simon Violet étaient spécialisés dans la vente de tissus. En cherchant comment baptiser ce nouveau breuvage, ils auraient été attirés par l'un de leurs coupons d'étoffes, présentés sous la forme d'un nuancier ; chaque étoffe était traditionnellement référencée par une lettre. La suite « B.Y.R.R.H. » sauta aux yeux des marchands et fut immédiatement adoptée pour donner un nom à leur apéritif.

En 1891, Lambert Violet, le fils de Simon, continue l'exploitation de la marque. Ensuite la marque devient Maison J. & S. Violet frères, successeurs.

Bénéficiant de cette réputation de « boisson hygiénique », le Byrrh connaît un vif succès commercial au début du XXe siècle et atteint dans les années 1930 une notoriété mondiale en dépit de son nom qui, au début, complique les exportations vers les pays anglo-saxons et germanophones : « Byrrh » y évoque inévitablement la bière ! Exporté sur tous les continents, il devient la marque d'apéritif la plus consommée au monde.

Dès 1903, la marque organise une série de campagnes publicitaires très dynamiques, tant dans les villes que dans les campagnes. Affiches, cartes postales, murs peints, bus, métro, objets publicitaires, favorisent la reconnaissance de la marque. Certains de ces outils promotionnels, réalisés avec des artistes renommés, sont aujourd'hui très recherchés.

En 1914, après le déclenchement des hostilités de la Première Guerre mondiale, le bruit court et enfle que les plaques publicitaires de Byrrh comportent des signes donnant à l'envahisseur allemand des informations secrètes sur les villes et les routes2.

Avec la Seconde Guerre mondiale s'amorce un sensible déclin de la marque. Les vins doux naturels (Banyuls, muscats de Frontignan ou de Rivesaltes, etc.), dopés par les avantages fiscaux, supplantent le Byrrh, qui passe de mode.

En 1977 l'entreprise familiale, divisée par les dissensions, est rachetée par la société Cusenier, elle appartient depuis lors au groupe Pernod-Ricard.

Depuis 1950, les caves de Byrrh possèdent le plus grand foudre de chêne du monde, d'une capacité réelle de 10 002 hectolitres. Cette cuve pèse 110 tonnes à vide, pour une hauteur de 10 mètres et un diamètre de 12,46 mètres.

La marque « Byrrh » est indissociable de la ville de Thuir.

En savoir plus

ACMÉ doit avant tout son style unique à sa recette inédite qui met à l’honneur les bourgeons de sapin sélectionnes pour leur qualité, leur intérêt gustatif et qui ont la particularité d’être cueillis à la main dans les montagnes françaises, ce qui apporte une véritable originalité à l’élaboration de ce nouveau gin français premium.

Associés à I1 plantes aromatiques savamment sélectionnées, ces bourgeons sauvages S’imposent comme la signature aromatique d’ACMÉ tout à la fois complexe et délicate, intense et fraiche.

En plus du choix des plantes aromatiques qui composent sa recette très originale, ACMÉ se distingue par son mode d’élaboration et sa production française et locale. Transmis de génération en génération, le savoir-faire traditionnel dans son process de distillation est a l’origine de la grande complexité d’ACME.

Ce nouveau gin français est en effet distillé en alambic traditionnel en cuivre à Thuir, au cœur des Pyrénées Orientales. Cette distillation traditionnelle, dans un site chargé de 200 ans d’histoire, permet de sublimer la complexité aromatique des 12 plantes qui composent ACMÉ.

Avant cette étape de distillation, les 12 plantes aromatiques que sont les baies de genièvre, les graines de coriandre, l’absinthe, les racines de gentiane, le thym citron, les racines d’iris, la réglisse, l’anis vert, l’angélique et les écorces d’oranges douces, le bourgeon de pin et le bourgeon de sapin, plante aromatique signature d’ACMÉ, sont infusées pendant 15 heures environ afin de révéler la quintessence de leurs arômes.

Fier de ses origines françaises et de sa proximité avec les massifs environnants, ACMÉ bouleverse les codes et les conventions de l’univers des gins, tout en respectant la tradition et le patrimoine local.

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Fiche technique
Pays d'origine
France
Contenance
70cl
Degré d'alcool
41,5°
Type de spiritueux
Gin
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