Mira

C’est lors d’un voyage dans le grand Nord canadien, au pays des caribous, tabernacle ! que Jacques et Aurélien décident de se lancer dans un projet commun. Deux possibilités s’offrent à eux. La première, tirer avantage de leurs talents musicaux mutuels, écrire un tube interplanétaire et se laisser happer par le star-system. Ou alors ouvrir une micro-brasserie à leur retour chez eux, dans le bassin d’Arcachon, pour réinventer la bière et pouvoir siroter tranquillement des pintes dans leur propre pub. Les charts étant déjà squattés par des artistes au génie indiscutable – bien entendu, nous ne citerons pas de noms pour ne fâcher personne, – nos deux jeunes entrepreneurs choisissent de rentrer dans le bordelais pour exploiter les richesses locales. Voilà comment, en 2015, naît à la Teste-de-Buch en Gironde (33) la brasserie MIRA, du latin mirabilia, qui signifie « merveille ». Rien que ça, n’est-ce pas ?

Mais tout à fait ! Car l’univers poétique de Mira est inspiré des cabinets de curiosités ou « chambres des merveilles » des siècles passés. Ces ancêtres des musées avaient été créés afin de transmettre aux quelques visiteurs chanceux l’amour de l’art et de la découverte, tout comme Jacques et Aurélien veulent partager leur passion pour le houblon. Dans ce contexte, Mira choisit pour emblème la chimère, cet animal imaginaire à deux têtes, intrigante gardienne de notre brasserie. La chimère symbolisait au Moyen-Âge la tentation et les désirs irréalisables… enfin, pas si irréalisables que ça pour Jacques et Aurélien dont l’objectif depuis le début est de fabriquer un produit authentique et local.

Après avoir gravi quelque fois la dune du Pilat et barboté un peu dans les eaux arcachonnaises, le résultat est là : leur bière est  non filtrée, non pasteurisée, et uniquement élaborée à partir de produits de première qualité – malts, houblons, levures, plantes aromatiques, épices et tripes de ses créateurs. Inspirée par le bassin, elle a le goût du pays !

Allez, sans rancune, et à la vôtre ! (Mais aussi à la nôtre, quand même…)




C’est lors d’un voyage dans le grand Nord canadien, au pays des caribous, tabernacle ! que Jacques et Aurélien décident de se lancer dans un projet commun. Deux possibilités s’offrent à eux. La première, tirer avantage de leurs talents musicaux mutuels, écrire un tube interplanétaire et se laisser happer par le star-system. Ou alors ouvrir une micro-brasserie à leur retour chez eux, dans le bassin d’Arcachon, pour réinventer la bière et pouvoir siroter tranquillement des pintes dans leur propre pub. Les charts étant déjà squattés par des artistes au génie indiscutable – bien entendu, nous ne citerons pas de noms pour ne fâcher personne, – nos deux jeunes entrepreneurs choisissent de rentrer dans le bordelais pour exploiter les richesses locales. Voilà comment, en 2015, naît à la Teste-de-Buch en Gironde (33) la brasserie MIRA, du latin mirabilia, qui signifie « merveille ». Rien que ça, n’est-ce pas ?

Mais tout à fait ! Car l’univers poétique de Mira est inspiré des cabinets de curiosités ou « chambres des merveilles » des siècles passés. Ces ancêtres des musées avaient été créés afin de transmettre aux quelques visiteurs chanceux l’amour de l’art et de la découverte, tout comme Jacques et Aurélien veulent partager leur passion pour le houblon. Dans ce contexte, Mira choisit pour emblème la chimère, cet animal imaginaire à deux têtes, intrigante gardienne de notre brasserie. La chimère symbolisait au Moyen-Âge la tentation et les désirs irréalisables… enfin, pas si irréalisables que ça pour Jacques et Aurélien dont l’objectif depuis le début est de fabriquer un produit authentique et local.

Après avoir gravi quelque fois la dune du Pilat et barboté un peu dans les eaux arcachonnaises, le résultat est là : leur bière est  non filtrée, non pasteurisée, et uniquement élaborée à partir de produits de première qualité – malts, houblons, levures, plantes aromatiques, épices et tripes de ses créateurs. Inspirée par le bassin, elle a le goût du pays !

Allez, sans rancune, et à la vôtre ! (Mais aussi à la nôtre, quand même…)

une eau vieille de 22 500 ans

Ce qui fait la particularité de Mira, c’est la qualité de son eau de source presque aussi ancestrale que la chimère à deux têtes ! Car il y a – à peine – 22 500 ans que cette eau s’est infiltrée à travers les sols du bassin d’Arcachon pour former une nappe souterraine. Aujourd’hui et grâce à l’ingéniosité sans faille de nos brasseurs-malteurs, cette eau est utilisée de manière mira-culeuse pour brasser notre Mira !

Il y a 22 500 ans En période glaciaire, bien avant l’homme de Lascaux [17 000 ans], la pluie qui tombe s’infiltre pour rejoindre dans le sous-sol un horizon calcaire. L’eau circule lentement vers la profondeur entre les grains et dans les fissures de la roche.
Aujourd'hui Cette eau infiltrée il y a 22 500 ans est pompée dans le forage MIRA entre 240 et 300 m de profondeur. L’eau de l’aquifère sous pression, protégée par une épaisse couche argileuse imperméable, remonte dans le forage jusqu’à 14 m de la surface du sol. Réchauffée en profondeur, elle sort à 21 °C. Elle est d’une excellente qualité, ni trop minéralisée, ni pas assez, indemne de toute pollution.

Le forage a été réalisé entre février et avril 2017. Il se compose d’un tube acier inoxydable plein jusqu’au réservoir puis d’une partie crépinée à partir de 240 m de profondeur. La crépine est un tube acier avec des ouvertures fines laissant passer l’eau. Elle est entourée par un massif de graviers permettant de filtrer l’eau.

Il a fait l’objet de nombreuses investigations (pompage, diagraphie…) dont le passage d’une caméra qui a permis de vérifier le bon état du tubage.

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