Bellevoye

Bellevoye est né prés de Bordeaux de l’association en 2013 de Jean Moueix (Pétrus, groupe Duclot) et Alexandre Sirech (producteur de vins de marque ayant travaillé pour une marque de scotch dans les années 1990).

Ces deux ambitieux décident d’ouvrir « une nouvelle voie pour un whisky français » en signant « un whisky, élégant, fin, peu tourbé, rond, équilibré ».
Après une longue période de dégustation comparative, de recherche, de réflexion, ils décident de partir sur un whisky « triple malt ».
L’idée : historiquement, toutes les marques de whisky produisaient des « blends », à savoir des mélanges de grains d’orge maltés et d’autres céréales.
Après -guerre, les Écossais ouvrent la voie aux whiskies « single malt », élaborés exclusivement avec de l’orge maltée et provenant d’une seule distillerie.

En s’orientant vers le « triple malt », Jean Moueix et Alexandre Sirech veulent appliquer au whisky la culture de l’assemblage propre aux grands vins de Bordeaux. Une sélection est donc réalisée auprès de trois distilleries françaises. L’une dans le Nord, avec sa propre meunerie qui moud les grains d’orge dans un moulin édifié en 1804. Une autre en Alsace. Une troisième à Cognac où se trouvent également les chais Bellevoye. Les whiskies, différents et complémentaires, issus de ces trois distilleries, à partir de grains d’orge de céréaliers français, ont déjà passé entre trois et huit ans en barriques de chêne. L’équipe de Bellevoye procède ensuite à son assemblage, qui va vieillir un an de plus en barriques de chêne de l’Allier.

Bellevoye est né prés de Bordeaux de l’association en 2013 de Jean Moueix (Pétrus, groupe Duclot) et Alexandre Sirech (producteur de vins de marque ayant travaillé pour une marque de scotch dans les années 1990).

Ces deux ambitieux décident d’ouvrir « une nouvelle voie pour un whisky français » en signant « un whisky, élégant, fin, peu tourbé, rond, équilibré ».
Après une longue période de dégustation comparative, de recherche, de réflexion, ils décident de partir sur un whisky « triple malt ».
L’idée : historiquement, toutes les marques de whisky produisaient des « blends », à savoir des mélanges de grains d’orge maltés et d’autres céréales.
Après -guerre, les Écossais ouvrent la voie aux whiskies « single malt », élaborés exclusivement avec de l’orge maltée et provenant d’une seule distillerie.

En s’orientant vers le « triple malt », Jean Moueix et Alexandre Sirech veulent appliquer au whisky la culture de l’assemblage propre aux grands vins de Bordeaux. Une sélection est donc réalisée auprès de trois distilleries françaises. L’une dans le Nord, avec sa propre meunerie qui moud les grains d’orge dans un moulin édifié en 1804. Une autre en Alsace. Une troisième à Cognac où se trouvent également les chais Bellevoye. Les whiskies, différents et complémentaires, issus de ces trois distilleries, à partir de grains d’orge de céréaliers français, ont déjà passé entre trois et huit ans en barriques de chêne. L’équipe de Bellevoye procède ensuite à son assemblage, qui va vieillir un an de plus en barriques de chêne de l’Allier

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